Les cartes de bruit sont des documents essentiels pour disposer d’une vision globale des enjeux et élaborer des plans de prévention du bruit dans l’environnement. C’est ce dont témoigne cet article de Bruitparif, qui partage sa méthodologie de mise en œuvre pour les produire ainsi que les principaux résultats obtenus en matière d’exposition des populations aux nuisances sonores de la circulation routière.

La mesure du bruit lié au trafic routier est indispensable pour documenter des situations réelles et en suivre les évolutions. L’Île-de-France fait partie des rares territoires européens dotés d’un observatoire métrologique, opéré par Bruitparif. Dans cet article, l’association explique sa méthodologie de mesure et illustre, à travers des exemples concrets, les évolutions qui peuvent être observées grâce à la mise en œuvre d’avancées technologiques et d’actions de réduction des nuisances sonores.

La qualité de l’air et le bruit font partie des domaines d’intervention de l’Ademe. Parmi ses nombreuses actions en faveur de l’amélioration de la qualité de l’air et de la lutte contre le bruit, certaines concernent les transports. Cet article en dresse un panorama.

C'est pour mieux connaître l'impact sanitaire du bruit des transports dans l'agglomération parisienne que l'Observatoire du bruit en Île-de-France, Bruitparif, et l'Observatoire régional de la santé (ORS) Île-de-France ont appliqué sur ce territoire une méthode mise au point par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour déterminer la morbidité liée au bruit. Cet article synthétise les principaux enseignements du rapport produit par les deux observatoires.

La directive « Bruit » du 25 juin 2002 devrait contribuer, par une meilleure connaissance des zones soumises à une forte exposition au bruit, à mieux lutter contre les nuisances sonores. Le Cerema a largement contribué à son application, notamment par le développement d’outils (Mizogeo, PlaMADE). Cet article rappelle les principales dispositions de la directive et les conditions de sa mise en œuvre.

Le bruit des transports représente une nuisance dont les impacts peuvent être traduits en coûts sociaux directs et indirects. Pour limiter ces impacts, la France a mis en œuvre un ensemble de dispositifLs réglementaires qui sont rappelés dans cet article.

Le bruit et une mauvaise qualité de l’air font partie des gênes identifiées depuis longtemps dans les villes. Au tournant du XX e siècle, les 80 000 chevaux parisiens qui assuraient le transport empoisonnaient l’atmosphère et salissaient les rues. L’arrivée de la voiture allait être la solution. Un siècle plus tard, le transport routier est à l’origine de nuisances à éliminer.