Le rendez-vous annuel des acteurs français de la mobilité intelligente s’est tenu les 22 et 23 janvier 2020 aux portes de Paris, au beffroi de Montrouge. Lors de ce 47 e congrès...

Dans un contexte où l’évolution des autoroutes urbaines donne lieu à des débats animés, suscitant l’organisation d’une exposition sur «Les routes du futur Grand Paris» (juin-...

L’association de parlementaires et d’acteurs de la mobilité Avenir-Transports a organisé, le 4 juin 2019 à la maison de la Chimie à Paris, un colloque sur le thème « Les territoires au cœur du défi des mobilités » au moment même où l’Assemblée nationale reprenait le débat sur la loi d’orientation des mobilités (LOM) et s’apprêtait à examiner près de 3 500 amendements.

La Biennale des territoires, qui s’est tenue du 18 au 20 mars dernier à Montrouge (92), a été l’occasion de faire dialoguer les acteurs des territoires autour d’une nouvelle vision de la résilience des réseaux de transports. Organisée par le Cerema, avec le soutien de la région Île-de-France et de Léonard (groupe Vinci), cet événement a posé les bases d’une stratégie de gestion résiliente à partir de retours d’expériences et de montages de solutions innovantes pour répondre aux situations de crise et prendre en compte les dégradations chroniques des réseaux ainsi que les évolutions des technologies et des nouvelles formes de mobilité.

À l’heure où des transformations majeures sont annoncées pour le secteur des transports, et alors même que les pratiques ont déjà commencé à évoluer, l’impact de ces transformations sur l’infrastructure est peu discuté. C’est pour prendre la mesure de cet impact que TDIE, Atec ITS France, l’Idrrim, l’Ifsttar et Routes de France ont réalisé une étude dont cet article présente les principaux enseignements.

Si, pour l’instant, l’électromobilité reste encore relativement anecdotique, la généralisation de cette forme de mobilité posera des problèmes d’infrastructures de recharge. C’est pourquoi le développement de la route électrique, à savoir l’adaptation des infrastructures routières pour favoriser l’essor d’une électromobilité sans contrainte pour l’usager, est un enjeu de recherche et développement prégnant, qui intègre de nombreuses problématiques scientifiques et techniques connexes que cet article tente d’illustrer.

Apparus au début des années 1990, les modes de déplacement « doux » - ou « actifs » - se sont développés d’abord timidement, puis de façon plus dynamique au gré de l’évolution du contexte législatif et de l’action des collectivités territoriales et locales. Afin de les valoriser, un des principaux leviers est le soin apporté au traitement des espaces publics, et donc au choix du revêtement, pour assurer la mixité fonctionnelle et la cohabitation de tous les usagers. Cet article détaille l’offre de Colas en matière de revêtements adaptés à ces modes de déplacement.

Les nouveaux moyens de mobilité urbaine regroupent tous les engins plus ou moins récents permettant de se déplacer sans effort. Ils comprennent principalement les gyropodes, les monoroues, les hoverboards et les trottinettes électriques. N’étant pas encore pris en compte dans le Code de la route ni dans les normes, ils génèrent de nombreuses interrogations, notamment relatives à la sécurité routière.

Située sur le trajet de la coulée verte du sud parisien, la ville de Sceaux se distingue depuis de nombreuses années par une politique d’avant-garde en faveur de la pratique du vélo. Le développement des circulations douces constitue pour la Ville une priorité, inscrite dans son projet d’aménagement et de développement durables (PADD).